Cela fait plus d’un an que la pandémie a commencé et que les écoles ont changé de ligne. Les étudiants dans toute l’Ontario ont eu assez des changements constants que le gouvernement impose sur la réouverture de les écoles. L’Ontario a pris en considération l’option d’obliger d’offrir l’école en ligne comme une option permanente. Cela donnerait aux enfants et à leurs parents l’option de continuer leur éducation dans la sécurité de leurs propres maisons.
De nombreuses difficultés rencontrées par les élèves sont liées au passage constant de l’école en personne à l’école en ligne. Il y a déjà diverses conséquences liées à la santé mentale pour les élèves à cause des changements radicale.
Les écoles de l’Ontario ont été ouvertes et fermées plusieurs fois au cours des quinze derniers mois. A la fin de cette année scolaire, les parents et les élèves ne peuvent pas savoir à quoi pourrait ressembler l’avenir de la scolarité. Depuis le “Congé d’Avril” la, les étudiants font l’école en ligne et ça n’a pas été facile. Oui, le gouvernement a donné divers avantages aux familles l’année passée mais a quel prix? A mon avis, pendant le début de la pandémie, l’Ontario a annoncé que l’année scolaire sera divisée en quatre quadrimestres avec les étudiants ayant deux cours chaque quadrimestre. Cela semblait être un plan juste, cependant, les élèves seraient enseignés par des enseignants d’écoles aléatoires de leur région. Ce plan a laissé les élèves dans une classe où ils ne connaissaient personne. Mais, maintenant les élèves sont dans des classes avec des enseignants et des élèves de leur propre école.
La pandémie de Covid-19 présente de nouveaux défis, mais l’aspect de la santé mentale des étudiants les affecte au quotidien. Selon un sondage mené par Statistique Canada, près de deux tiers (64 pour cent) des personnes âgées de 15 à 24 ans ont signalé un impact négatif sur leur santé mentale. S’adapter à la nouvelle réalité d’être confiné à nos maisons de manière assez anxieuse pour les étudiants, d’autant plus qu’ils ne peuvent pas voir leurs amis en personne et que cela pose un risque pour leurs compétences sociales. En tant qu’humains, nous avons naturellement envie d’interactions sociales, et une fois que nous en sommes dépouillés, cela présente ses propres défis. Une fois que les choses reviendront à la norme, les élèves manquerontt de certaines compétences sociales qu’ils avaient auparavant. Ils peuvent avoir peur de sortir et d’interagir avec les autres parce qu’ils sont habitués à rester à la maison, ce qui a des effets psychologiques extrêmes.
Depuis la déclaration de la pandémie ici au Canada, on n’aurait pas pu penser que nous serions confinés chez nous pendant plus d’un an. En entrant dans ces quatre confinements, les gens se sentent très isolés, d’autant plus que le seul contact humain qu’ils ont se fait à travers un petit écran et ceux de leur cercle social. Selon un article de Global News, 54 pour cent des Canadiens sur 1 006 sondés se sentent seuls ou isolés. Les étudiants sont extrêmement inquiets pour une certaine normalité, cependant, à mesure que la pandémie s’aggrave, le cas de la santé mentale chez les élèves du secondaire s’aggravera également.
Après quatre confinement et des commandes à la maison, il y a encore beaucoup d’incertitude sur l’avenir mais ce que nous savons avec certitude, c’est que les étudiants sont confrontés à des cas extrêmes d’anxiété, de solitude et de stress et c’est un problème que le gouvernement doit résoudre une fois qu’ils commencent rouverte l’économie.